Aujourd’hui 25 novembre, c’est la journée de lutte contre la violence faite aux femmes. Et oui elle est très importantes cette journée pour que l’on en parle de ce problème qui touche dans le monde des centaines de millions de femmes. Rien qu’en France, ce sont des centaines de milliers de femmes qui sont impactées par cette violence qui passe par des coups, des viols, des féminicides, mais si l’on ajoute les violences mentales, alors les chiffres explosent. La violence envers les femmes commence à l’instant où l’on considère qu’elles n’auraient pas les même droits, les mêmes chances dans la vie que les hommes. Bien sûr, les violences les plus immédiates, les plus directes, les coups, les viols, les harcèlements doivent être prisent en charge, doivent bénéficier d’une aide immédiate, d’un No de téléphone 24/24, de personnes formées pour écouter, soigner, prévenir et surtout croire.
Mais cette violence ne touche pas que les femmes, loin s’en faut. Nos connaissances actuelles en neurocognition et en épigénétisme, montre bien que l’impact de ces violences ont des répercutions non seulement sur la société d’aujourd’hui, mais aussi sur nos descendants puisqu’elle est transmissible via les marqueurs épigénétiques. Nous devons donc faire cesser ces violences. Pour les femmes en premier lieu. Parce que cette violence est tout simplement inadmissible. Mais aussi parce qu’elle nous empêche, en tant qu’humain, en tant que société, de poursuivre notre développement.
Il faut donc que l’éducation évolue, que ces notions soient enseignées dès le plus jeunes âges, que le respect au-delà du genre soit la priorité, que l’idée qu’il peut être excusable d’être violent envers une femme, disparaisse !
C’est cela, cette journée contre la violence faite aux femmes que nous soutenons à 100% avec l’Institut de l'Adaptation Humaine.
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